Table des matières
La réforme bancaire proposée par le gouvernement veut plafonner le montant des frais bancaires lors d’incidents de paiements.
Lors des dépôts d’un dossier de regroupement de crédits, force est de constater le poids écrasant des pénalités dont les emprunteurs fragiles doivent faire face à chaque prélèvement rejeté, commission d’intervention, frais sur chèque impayé….
La réforme bancaire souhaite imposer l’impossibilité de cumuler les frais pour chaque présentation d'un chèque sans provision, ou à chaque incident de paiement… Pour les emprunteurs ayant déjà un budget déséquilibré, ce cumul de pénalité peut définitivement anéantir les possibilités de rebond du ménage.
Nombreux sont les dossiers de regroupement de crédits qui sont refusés suite à de trop nombreux rejets de prélèvement. Il est important pour les emprunteurs qui souhaitent réaliser un regroupement de crédits d’intervenir en préventif, avant la dégradation de leur situation financière.
Le projet de loi sur la réforme des activités bancaires prévoyant de plafonner les commissions d'intervention pour les clients aux revenus modestes.
Un chèque sans provision, un paiement par carte bancaire sans provision sur le compte bancaire entraîne le paiement de pénalités. De 8 € en moyenne, par mois, ces frais se multiplient, à chaque incident.
Le coût cumulé de ces frais peut même aller jusqu'à 220 €, par mois et plus ….
Pour protéger les consommateurs les plus fragiles, le projet de loi de la réforme bancaire prévoit de plafonner les commissions d'intervention demandées par les banques.
Ces mesures sont très attendues par les ménages aux revenus les plus modestes.
Un décret déterminera les critères permettant d'identifier les bénéficiaires de la mesure et les modalités de calcul du plafond de ces commissions.
La réforme bancaire proposée par le gouvernement veut plafonner le montant des frais bancaires lors d’incidents de paiements.
Lors des dépôts d’un dossier de regroupement de crédits, force est de constater le poids écrasant des pénalités dont les emprunteurs fragiles doivent faire face à chaque prélèvement rejeté, commission d’intervention, frais sur chèque impayé….
La réforme bancaire souhaite imposer l’impossibilité de cumuler les frais pour chaque présentation d'un chèque sans provision, ou à chaque incident de paiement… Pour les emprunteurs ayant déjà un budget déséquilibré, ce cumul de pénalité peut définitivement anéantir les possibilités de rebond du ménage.
Nombreux sont les dossiers de regroupement de crédits qui sont refusés suite à de trop nombreux rejets de prélèvement. Il est important pour les emprunteurs qui souhaitent réaliser un regroupement de crédits d’intervenir en préventif, avant la dégradation de leur situation financière.
Le projet de loi sur la réforme des activités bancaires prévoyant de plafonner les commissions d'intervention pour les clients aux revenus modestes.
Un chèque sans provision, un paiement par carte bancaire sans provision sur le compte bancaire entraîne le paiement de pénalités. De 8 € en moyenne, par mois, ces frais se multiplient, à chaque incident.
Le coût cumulé de ces frais peut même aller jusqu'à 220 €, par mois et plus ….
Pour protéger les consommateurs les plus fragiles, le projet de loi de la réforme bancaire prévoit de plafonner les commissions d'intervention demandées par les banques.
Ces mesures sont très attendues par les ménages aux revenus les plus modestes.
Un décret déterminera les critères permettant d'identifier les bénéficiaires de la mesure et les modalités de calcul du plafond de ces commissions.
La réaction des banques face au plafonnement des frais bancaires a été variée, mais plusieurs tendances et réponses courantes peuvent être observées :
Certaines banques ont ajusté leurs structures tarifaires en augmentant les frais pour d'autres services non plafonnés pour compenser la perte de revenus. Par exemple, elles peuvent augmenter les frais pour les services premium, les produits de crédit ou les frais de gestion de comptes spécifiques.
Pour maintenir leur rentabilité malgré la réduction des revenus provenant des frais plafonnés, les banques ont cherché à réduire leurs coûts opérationnels. Cela peut inclure la fermeture de certaines agences physiques, l'automatisation des processus, ou la réduction du personnel.
Les banques ont intensifié leurs efforts pour promouvoir les services bancaires en ligne et mobiles, qui sont moins coûteux à gérer par rapport aux services en agence. Elles ont investi dans des applications mobiles, des plateformes de banque en ligne et des outils de gestion financière automatisée.
Les banques ont diversifié leur offre de produits et services pour attirer et fidéliser les clients. Cela peut inclure le lancement de nouveaux produits financiers, des offres de prêts plus attractives, ou des programmes de fidélité et de récompenses.
Certaines banques ont engagé des actions de plaidoyer et de lobbying pour influencer la réglementation ou obtenir des ajustements aux règles de plafonnement des frais. Elles ont pu argumenter que le plafonnement des frais pourrait avoir des conséquences négatives sur leur capacité à fournir certains services ou à soutenir les petites entreprises.
Pour maintenir la confiance des clients, les banques ont amélioré leur communication sur les frais et les services. Elles ont fourni plus de transparence sur la structure des coûts et les avantages des différents services bancaires.
Les banques ont développé des services à valeur ajoutée pour compenser la réduction des frais. Cela peut inclure des conseils financiers personnalisés, des produits d'assurance, ou des services de gestion de patrimoine.
Certaines banques ont cherché à se consolider ou à former des partenariats pour réduire les coûts et améliorer leur offre. Les fusions et acquisitions peuvent permettre de réaliser des économies d'échelle et de renforcer la compétitivité.
Banques traditionnelles : Certaines banques traditionnelles ont été plus affectées par le plafonnement des frais et ont dû réévaluer leur modèle d'affaires plus profondément. Elles ont souvent pris des mesures drastiques pour maintenir leur rentabilité, comme la réduction de leurs réseaux d'agences.
Banques en ligne et néobanques : Ces institutions ont souvent vu le plafonnement des frais comme une opportunité pour gagner des parts de marché. Étant donné qu'elles ont déjà des structures de coûts plus faibles, elles ont pu attirer des clients en offrant des frais bancaires réduits ou nuls.
Banques coopératives et mutualistes : Ces banques ont parfois mieux résisté aux changements en raison de leur modèle d'affaires axé sur les membres. Elles ont mis l'accent sur la fidélisation des clients par des services personnalisés et une gestion prudente des coûts.
Les réactions des banques ont été influencées par leur taille, leur modèle d'affaires et leur capacité à s'adapter rapidement aux changements réglementaires. Dans l'ensemble, le plafonnement des frais bancaires a poussé les banques à innover et à chercher de nouvelles sources de revenus tout en essayant de maintenir la satisfaction de leurs clients.
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